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Promised land sous toutes les latitudes... un lieu de refuge et de résistance,
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Commentaires
Ce que tu écris avec cette image, me fait penser au Vercors.... et à tous ces pauvres maquisards, protestants pour la plupart qui ont été sacrifié....
La terre promise, j'en connais qui la cherche en ce moment en bloquant les routes et points stratégiques. Pas le moment de se déplacer. Bises et bonne journée. ZAZA
ce peut être aussi le moyen de faire se tenir tranquille : attendre .... l'utopie se construit au jour le jour. @ +
promised land, plus haut tu montes plus dure sera la chute,me^me avec le matériel d e sécurité adéquat, moi je pense aux" étrangers en situqtion irrégulière", les pauvres,ils y croyaient à la terre promise,mal embarqués, rembarqués à peine débarqués, fin de l'histoire.
et puis je pense à Richard Anthony, çà me gonfle , depuis que j'ai lu le titre j'ai ces paroles en têtes, et je ne sais vraiment pas ce que je vais en faire....ben si, tiens, je vais les écrire ici, histoire d e contaminer un autre lecteur....(qui aurait un peu plus de 20 ans....)
"c'est pour toi seigneur
qu'ils ont tant marché
tous ces voyageurs
récompense les
vois la bonne surprise
que tu leur ferais
la terre promise
ils l'ont bien méritée!"
et oui j'ai jamais dit que j'allais citer du Victor Hugo, non plus!!!!!!
Loqman,
Oui terre meurtrière plsu que nourricière trop souvent, mais bon ce sont les hommes qui peuplent ces terres qui inversent l'équation.
@+
Jean,
J'ignorais cette page d'histoire. Le devoir de mémoire est là aussi : ne pas oublier.
Merci pour ton apport.
@ bientôt.
Thé âche,
Gravir une montagne en est déjà une belle d'utopie quand on prend la chose de manière concrète. Certes nombre sont ceux qui le font mais ça reste quelque chose de très fort, enfin j'imagine.
@ bientôt.
Mama,
C'est clair que ce colalge résonne à plusieurs étages...
On promet, on vend de l'utopie piégée d'avance et à la fois on y croit car on n'a que ça.
Lorsque j'ai créé "L'homme à la peau d'ours" (d'après grimm) dans le cadre de la semaine de la solidarité internationale, on m'a demandé de lire des extraits de témoiganges de réfugiés d'aujourd'hui. En intro de cet ouvrage se trouvait le conte le plus connu de Nassreddin Hodja qui cherche ses clés dans un halot de lumière alors qu'elles n'y sont pas et lorsqu'un quidam lui demande om il les a perdu il indique par là bas et l'autre lui demande alors pourquoi cherche rici ? Ici il y a de la lumière.
L'auteur du recueil de témoignages faisait le lien avec les réfugiés en disant que parfois ils viennent chercher ce qu'ils ne peuvent trouver car chez eux il n'y a plus de lumière...
Bonne soirée à toi.
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"La terre promise", une utopie trop souvent sanglante (sanguinaire ?)
Le refuge sous un pont, la résistance à bout de larme...