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Le grand passage à un pas de la folie
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Commentaires
Contraste entre ces images de douceur que sont la femme souriante avec son chat dans les bras, la colombe de la paix et cette montagne à franchir .. presque inaccessible comme l'est l'espoir de paix dans le monde de quoi devenir fou.
Le grand passage... Cette colombe de paix... ou un désir authentique de paix..; pais en ce monde de fou..; dur dur à trouver....
Par contre pour moi le grand passage évoque... le passage de l'autre coté de la vie... fonction de pasteur oblige !!!
si toi un de tes questionnements récurrents,dis tu, est l'enfermement, moi c'est plutôt la folie,la frontière infiniment ténue qui sépare cet être hier apparemment équilibré et ce qui le rend soudain déchiré, ou hors réalité, ou incompréhensible aus autres et à lui me^me .....
ce qui est d e l'ordre intime et une dérive ou un échappatoire d e trop d e souffrence et d'incompréhension de soi, et ce qui lie la folie personnelle avec la grande folie parano et bipolaire universelle, ambiante....
une société qui veut toujours mieux,et plus, de ses "sujets" en ne valorisant que ce côté, nous conduit certainement à être d e plus en plus performants, de moins en moins humains, au bord du gouffre puis zou!au fond....et personne pour savoir ou vouloir nous en sortir.... jetables en un mot....ou enfermables....ou bien psychopathes....
pour affronter cette idée, un peu de folie (ou beaucoup) est nécessaire pour ne pas sombrer dans l'irrationnel le plus complet, avant de passer le gué ou le cap ou.... @ +
6durdanMercredi 15 Juillet 2015 à 12:19Loqman,
Oui on donne du symbole, de l'image, de la bienveillance politiquement correcte pour le principe mais dans le fond ça tourne plus rond du tout à moins d'un pas de la folie collective.
Tmor
Fanfan,
C'est à portée de ma•••••••••••in on dirait et pourtant toujorus et encore la même sauce qu'on ne connaît que trop...
Oui ça fait froid dans le dos en effet.
@ bientôt.
Thierry
Jean,
On y voit ce que l'on voit en soi un peu comme un miroir.
Content qu'il y ai une part d'espoir tout de même.
Serait ça être fou ? Avoir de l'espoir ?
À méditer.
Tmor
Mama,
Oh que oui je te rejoins. Le final de "Fred Loram" ou tout le long de "Phare Intérieur" on flotte dans des eaux de trouble mental. Qu'est-ce qui est une prison ? Notre résistance à ce système où ce qu'il cherche à nous faire changer pour qu'on rentre dans le moule plus très rond ?
Le mental est parfois une prison mais comment faire sans ? La lobotomie pour tous et on finit comme dans idiocratie ?
Ton comm' soulève des question j'en suis ravi.
@+
Thé âche,
Passer l'arme à gauche ou de l'autre côté du miroir des fois le parallèle est saisissant car ça fait très "point de non retour" un peu comme le "point mort". On juge beaucoup cette folie et pourtant en nous des fois ça tourne pas très rond, mais après ça passe, ou pas...
@ bientôt.
Durdan,
Un passage pas anodin du tout en effet ! On est loin de Dallas et on n'a pas besoin de Damart. Un peu fou ce jeu de mot et alors ?
Merci pour ta visite.
Tmor
j'avais mis dan s un coin d e ma mémoire le titre de ce livre d e toi après en avoir lu le résumé....j'en ferai l'emplette un de ces 4....et pour le lien mis à propos de "(parenthèses)",il y est question certes de ce que je pense de ce que j'ai lu mais il y est plus question d e ton livre que d e moi (aucune fausse modestie, juste rendre à César ce qui lui appartient)merci pour le retour du retour^^
@+
Mama,
C'était pour le plaisir du partage. Ravi d'échanger avec toi à ce propos. Pas d'obligation pour les emplettes c'est toujours le plaisir du lien et de tisser les fils des associations d'idées.
Pour revenir au collages ce sont ces échanges (simples et sincères) qui font qu'on ne se sent pas entourés que de fous.
@ bientôt.
Comme tes collages me sont actuels et parlants. Et c'est vrai que chacun projette et y voit chacun exactement quelque chose de différent ! C'est ce qui pour moi fait leur richesse et leur éclat, cette ouverture et cette particularité.
Je reste chaque jour estomaquée par ton énergie et ta constance. La folie du monde me fauche parfois, pas toi, tu rebondis toujours, ça doit être ça un artiste. Lassitude versus rebonditude ! :-)
Bonne journée !Nikole,
Un grand merci pour ton retour très encourageant. Comme le disait une amie marionettiste à moi "Ça me coûterait trop de ne pas faire ce que je fais". Cette liberté a un revers, précarité, incertitude, mais si on part du principe que rien ne se perd tout se transforme et bien on peut toujours en faire quelque chose !
Je suis ravi des écahnges avec les bloggueurs qui me permettent d'approfondir des réflexions. Ce blog m'enrichit beaucoup.
@ bientôt.
Thierry
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La route de la soie est ré-ouverte le grand capital va enfin pouvoir péter dans ses draps de tissus fins.
Le Shah est à peine rassuré, (comme je le comprends, être dans les bras de Lagarde, il y a de quoi les avoir les comptes à zéro)
la colombe de la paix tourne comme elle peut dans des vents contraires.
Espérons que l’espoir pour la soif désaltère.