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Entre vous et moi je suis toujours touché d'être touchant. Tu m'étonnes !
Série "Avignon à l'arrachée"
10 x 15
« Écrire ou ne pas écrire. Ce dossier traverse l'enfant terribleDans ma maison de papier je réinvente la contrainte. »
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Commentaires
Thé âche,
On poursuit la route, pour soi, en sachant qu'on ne peut rien sans les autres.
Cosmonaute de l'intériorité ouvert sur la piste aux étoiles.
Pas toujours très brillant.
Mais c'est notre lot quotidien.
@+
De beaux sentiments, un décor et une posture qui aident à l'introspection. Mais des barrières tout de même et je ne parle pas de la tête difficilement identifiable. J'ai cru d'abord à un ballon ...
Lily,
Le tract de base était un peu "too much", le décalage s'est imposé de lui même de manière lunaire et non moqueuse. Bon y a quand même la vanne dans la bulle, mais on va dire qu'il n'a pas entendu à cause du casque...
Bonne journée à toi.
ça me rappelle un village corse ,on s'asseyait sur le muret bordant la route en surplomb pour y prendre l'ombre ,la journée et le frais ,le soir
Bonsoir Thierry,
paradoxe, bien qu'il ai l'air dans le repli total...le courant passe toujours, beaucoup de communication intime dans le collage ! J'ai du mal à expliquer, mais ça me parle !
Bien @micalement
Adam,
C'est le courant impalpable et improbable des associations d'idées qu'untel fait et d'autre non ou pas. Tant mieux que ça ouvre des portes.
Comme dit à Jean, il y a de la place sur le muret à côté de lui pour un peu de compagnie.
@+
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se savoir toujours existant est une nécessité pour continuer à être, poursuivre la route, le savoir passe par le retour que ça provoque et qui montre qu'on est encore pour l'autre.